Initiée par un député gaulliste de Bretagne, Jacques Cressard, la loi du 4 juillet 1974 tendant à rapprocher la situation des pigistes et celle des permanents (voir ci-dessus), a été défendue par tous les groupes parlementaires et plus particulièrement par deux députés, l'un socialiste, Georges Fillioud (socialiste, ex-journaliste à Europe 1) et Jack Ralite (communiste, ex-journaliste à l'Humanité), membres du SNJ-CGT. Elle a été adoptée à l'unanimité. La loi a introduit une grande nouveauté. Le pigiste est supposé lié par un lien de subordination à l'entreprise qui l'emploie. C'est à l'employeur d'apporter la preuve que le lien de subordination n'existe pas. C'est ce qu'on appelle le renversement de la preuve. © SNJ-CGT
Radio France emploie non seulement Pascale Clark, mais de très nombreux journalistes qui se voient appliquer le statut d'intermittent du spectacle pour éviter d'avoir à leur reconnaître un statut permanent, d'éviter de leur payer des indemnités en cas de licenciement, et de leur faire bénéficier des protections liées à la convention collective des journalistes.
Le SNJ-CGT tient à faire part de sa vive émotion à la suite de l'annonce de l'assassinat en Centrafrique d'une photojournaliste française de 26 ans, Camille Lepage.
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