Radar Travail Environnement – L’outil des syndicats pour la transition écologique
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Édito
Il y a urgences !
Réchauffement climatique, effondrement de la biodiversité, raréfaction des ressources naturelles, pollution ... Autant de symptômes d’un modèle capitaliste et de consommation de masse qui prospère sur les crises et sur l’exploitation toujours plus poussée des êtres humains, comme de la nature. Le dérèglement climatique est devenu une réalité tangible en France et dans le monde.
Sans un changement radical des modes de production actuels, nous nous rapprochons d’un point de bascule sur lequel nous alerte les scientifiques depuis déjà des décennies.
Au-delà du climat, la biodiversité s’effondre, les ressources y compris renouvelables s’épuisent et les pollutions continuent de s’étendre. Quant aux politiques publiques, elles sont insuffisantes, faute aux lobbies et au dogme de l’austérité budgétaire.
Face à cette crise systémique, il est donc urgent d’agir pour laisser à la génération future une planète vivable.
Les directions ne s’engagent pas
Malgré leurs responsabilités dans le dérèglement climatique et la crise environnementale, les entreprises n’opèrent pas les changements radicaux attendus et se contentent le plus souvent de mesures sans impact sur leurs stratégies tournées vers la maximisation des profits, voire de greenwashing. Elles captent les moyens publics attribués sans conditionnalité. Malgré leur expertise professionnelle, elles dénient le droit aux salarié·es d’être associé·es à l’élaboration des décisions, mais renforcent les injonctions individuelles à agir pour l’environnement.
Sans transformer les entreprises et les services publics, la société ne pourra pas répondre à l’urgence environnementale.
Sans les travailleur·euses, la transition ne sera ni juste, ni suffisante.
Réchauffement climatique, effondrement de la biodiversité, raréfaction des ressources naturelles, pollution ... Autant de symptômes d’un modèle capitaliste et de consommation de masse qui prospère sur les crises et sur l’exploitation toujours plus poussée des êtres humains, comme de la nature. Le dérèglement climatique est devenu une réalité tangible en France et dans le monde.
Sans un changement radical des modes de production actuels, nous nous rapprochons d’un point de bascule sur lequel nous alerte les scientifiques depuis déjà des décennies.
Au-delà du climat, la biodiversité s’effondre, les ressources y compris renouvelables s’épuisent et les pollutions continuent de s’étendre. Quant aux politiques publiques, elles sont insuffisantes, faute aux lobbies et au dogme de l’austérité budgétaire.
Face à cette crise systémique, il est donc urgent d’agir pour laisser à la génération future une planète vivable.
Les directions ne s’engagent pas
Malgré leurs responsabilités dans le dérèglement climatique et la crise environnementale, les entreprises n’opèrent pas les changements radicaux attendus et se contentent le plus souvent de mesures sans impact sur leurs stratégies tournées vers la maximisation des profits, voire de greenwashing. Elles captent les moyens publics attribués sans conditionnalité. Malgré leur expertise professionnelle, elles dénient le droit aux salarié·es d’être associé·es à l’élaboration des décisions, mais renforcent les injonctions individuelles à agir pour l’environnement.
Sans transformer les entreprises et les services publics, la société ne pourra pas répondre à l’urgence environnementale.
Sans les travailleur·euses, la transition ne sera ni juste, ni suffisante.
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