Assemblée générale de l’IHS Ugict – 31/1/ 2019

10ème Assemblée Générale – Montreuil – 31 janvier 2019

RAPPORT D’ACTIVITE et D’ORIENTATION

Tout d’abord, un grand merci pour votre participation aujourd’hui. Les nombreuses sollicitations en cette période de début d’année, et le développement des luttes (aujourd’hui, retraités,…), mais aussi les mauvaises conditions météo, expliquent le nombre important de camarades excusés. Nous avons toutefois décidé de maintenir notre AG, au vu des échéances à venir : 52ème congrès confédéral du 13 au 17 mai 2019 à Dijon.
Je voudrais tout d’abord excuser :
–  Jocelyne GUIHEU et Odette WAKS qui doivent s’occuper de leur santé et sont retenues par des examens médicaux. Nous souhaits de retour à une bonne santé les accompagnent.
– Julien GUERIN qui encadre un stage de l’UGICT à Courcelles.

(Compte-tenu des présents et des pouvoirs donnés par nombre de camarades excusés, nous pouvons engager notre travail et délibérer).

Notre Institut a maintenant près de 11 ans d’existence, depuis son Assemblée Générale constitutive, le 2 octobre 2008, prenant la suite du « collectif histoire de l’UGICT» crée en juin 2007. Le 18ème congrès de l’UGICT a été un moment fort pour montrer ce qui aura été réalisé et engagé depuis plus de10 ans notre institut.
Que de chemin parcouru depuis. Notre institut s’est structuré, renforcé et a mené plusieurs actions, toujours en lien avec l’actualité. Il nous faut maintenant élargir nos forces, en particulier vers des camarades jeunes et en activité. C’est en développant notre travail sur des thèmes liant histoire et actualité, en répondant aux sollicitations des organisations de l’UGICT que nous élargirons notre audience et démontrerons l’utilité pour notre mouvement syndical d’un institut comme le nôtre.
Je rappellerai ce qu’André indiquait lors de l’une de nos AG : « notre Institut n’a de raisons d’être que s’il se montre capable de gérer un matériau historique que nul ne pourra gérer à notre place et qui sera irremplaçable. Et mettre ce matériau à la disposition d’équipes de recherche est la condition de son développement.

2018 a été une année importante avec les suites de l’élection de Macron à la Présidence de la République, et d’une Assemblée Nationale avec une majorité absolue de députés qui lui sont acquis.
Nous avons eu très vite les effets de la politique promise qui a été mise en œuvre et qui se poursuit, développant un ultra libéralisme exacerbé, en remettant en cause nos acquis sociaux : ordonnances sur le travail, amplification des attaques contre notre système de protection sociale, développement d’une fiscalité allégeant les plus riches et frappant plus durement les plus modestes, avec nombre de projets tout aussi nocifs : retraites, santé, …

Le mouvement des « gilets jaunes », avec ses modes d’action spécifiques, illustre combien les aspects de cette politique sont durement ressentis par celles et ceux qui les vivent le plus durement.

Cette intervention se propose donc d’examiner notre activité en 2018 et de soumettre au débat des propositions de pistes de travail pour 2019.
André et d’autres camarades de bureau pourront compléter cette intervention en revenant sur les points qu’ils ont la responsabilité d’animer.

Cette intervention se structurera autour de 4 axes :
– Les orientations de notre AG en février 2018 et les points forts de notre activité en 2018 ;
– Des pistes pour nos orientations en 2019 ;
– La vie de notre institut et son renforcement ;
– Des thèmes de travail proposés à la réflexion.

 1. Les orientations de l’AG 2018 et les points forts de notre activité en 2018

2018 a été une année importante pour notre institut.
Nous avons poursuivi le travail engagé sur :
– La numérisation des archives ;
– Le travail social ;
– La désindustrialisation et les luttes qui ont été développées autour.
2018 a été marquée par notre engagement dans la phase active de la préparation du 18ème congrès de l’UGICT qui s’est tenu à Perpignan du 20 au 23 mars et une présence active et remarquée de notre Institut.

Les actions engagées :
– Numérisation des archives de l’ UGICT :
Nous avons poursuivi un travail avec la société GAMMA afin :
– De poursuivre des travaux de numérisation :
=> Collection (partielle) de Cadres info ;
=> Engagement de la numérisation des documents de différents congrès de l’UGICT (plusieurs boites déjà réalisées) avec un planning de travail et des archives de René LEFORT.

Cela a nécessité de travailler à une méthode de travail afin de préparer le travail de numérisation effectué par GAMMA pour limiter les manipulations de documents (qui représentent du temps, donc facturé).
Nous travaillons aussi avec l’UGICT pour nous fixer un cadre et une méthodologie de travail.

Travail social :
– poursuite de la réflexion ;
– Travail de recherche d’archives ;
– Besoin de réactiver le groupe autour de Jocelyne qui ne peut-être présente aujourd’hui, car elle doit s’occuper de sa santé. Voici quelques pistes qui ont été évoquées :
–  Reprise de la réflexion engagée pour lui donner une suite;
–  Sortie d’un cahier après la rencontre de mars 2016

Réflexions de Jocelyne (mail du 19/06/2018) :
–  « Notre créneau n’est-il pas de réfléchir au rôle qu’y ont joué les cadres ?
–  S’il est important de « balayer » le contexte social, pour l’IHS il me semble important de « décortiquer » avec un travail au niveau de l’IHS Confédéral (rencontre ?) ce à quoi les cadres socio éducatifs ont été amenés au fil des politiques de désengagement de l’Etat, à devoir subir au quotidien, venant abolir leurs valeurs de fonctions, coincées entre les injonctions institutionnelles contrevenant à leurs finalités professionnelles.

Sur ces sujets c’est un boulot avec l’IHS Confédéral.

Dans l’Histoire de l’IHS, n’est- ce pas ce créneau de ce que les cadres du Travail Social ont vécu qui est le notre ?

En tant qu’IHS UGICT ? Comment les cadres du Travail Social ont- ils étés utilisés ? »

Ne faut-il pas aller vers une nouvelle rencontre plus large que celle de 2016 ?

Voir les dossiers travaillés par les IHS fédéraux ;

Travailler sur le rôle des cadres dans le travail social.

Sur tout cela, proposition que le travail se poursuive en groupes avec les camarades intéressés.

Les luttes contre la désindustrialisation: Annie pourra développer.

Faire le point des contributions et témoignages reçus ;
Documents inventoriés ;
Rassembler tout cela dans une publication : proposition d’un plan de travail.
Ne faut-il pas organiser une initiative d’échanges :
Restitution du travail déjà réalisé ;
Témoignages.
Un travail de long terme à développer autour du rapport du salarié (et du syndiqué), à l’entreprise.

Engagement d’un travail de recherche, notamment dans les archives de l’UGICT ;

  2. Des pistes pour des orientations de travail en 2019

Poursuite des actions engagées

– Formation continue: reprise du travail sur « 50 ans de luttes pour le droit à la formation continue », qui a occupé une place importante et structuré l’activité de l’institut durant deux ans. Une journée d’étude s’était tenue le 22 mai 2013. Malgré une petite participation, l’intérêt des contributions des intervenants et la densité des échanges ont marqué cette journée. Un numéro spécial de nos « cahiers d’Histoire » en rendant compte est paru. Reste à voir quelles suites nous donnons au travail engagé afin de montrer aux militants d’aujourd’hui tout l’enjeu des questions de la formation tout au long de la vie, comme des questions revendicatives à part entière.
– Sur le travail social et la désindustrialisation que je viens d’évoquer.

Les trajectoires syndicales

Je rappellerai ce qui avait été évoqué lors de nos dernières AG :

– Une première Phase de mise au propre des informations recueillies lors de congrès de l’UGICT et qui a été réalisée par André (ce qui représente un très gros travail). Notre Conseil Scientifique, consulté sur les suites à donner à ce travail, avait estimé qu’il nous fallait retravailler et compléter le questionnaire afin que nous ayons des témoignages plus complets sur tous les aspects pouvant influer sur la vie et l’activité d’un militant, au-delà de sa seule activité syndicale.

– Ainsi, il nous faut reprendre ce travail et passer à une seconde phase:

-Revoir les camarades déjà interviewés pour compléter la connaissance de leur parcours ;
–  Elargir le nombre de camarades rencontrés ;
–  Réaliser d’autres interviews filmées ;
–  Réfléchir à quelle utilisation des données recueillies (livre, film,…).

La poursuite du travail sur les archives de l’UGICT :

Il est déjà lié à la recherche par l’UGICT, d’espaces supplémentaires, d’autant que nous sommes sollicités pour accueillir des fonds d’archives de camarades ou d’organisations de l’UGICT. Le travail de répertorisation est à poursuivre en élargissant le nombre de camarades impliqués dans ce travail.
Le travail de numérisation, a été engagé avec la société Gamma.
André développera sur cette question.

Plusieurs actions ont été engagées :
– La numérisation de la collection de cadres infos ;
– La numérisation des archives de René LEFORT, dirigeant National de l’UGICT et de la CGT RATP a été achevée. Pour cela, un financement de 3000€ sur 3 ans a été obtenu de la Mairie de Paris.
– Nous avons également pour projet de poursuivre le travail engagé sur la numérisation des documents relatifs aux différents congrès de l’UGICT. Un dossier de demande de financement a été déposé auprès de la région Ile de France.
– A été également engagé avec GAMMA la mise en place d’une base de données des documents numérisés. Il nous faut maintenant arriver à rendre opérationnelle cette base.

– Le livre de Gérard qui est sorti pour le 17ème congrès de l’UGICT au mois de mai 2014 est toujours d’actualité et constitue un outil pour la formation syndicale. Nous travaillons à sa promotion et proposons à l’UGICT et à ses organisations d’être un des supports à des initiatives statutaires, de débat ou de formation syndicale.

– Notre contribution au colloque organisé par l’HS-CGT sur « Le syndicalisme professionnel, organisations et structures », et qui fera l’objet de l’échange qui suivra notre AG avec Gérard ALEZARD, qui nous fera part de son expérience comme ancien secrétaire de l’UD de Paris puis ancien membre du Bureau Confédéral de la Cgt

  3. La vie de notre institut et son renforcement

–  Le renforcement de l’Institut :

Nous avons besoin que notre AG consacre une partie de sa réflexion à son renforcement en adhérents et de son travail collectif. Les orientations mises en œuvre, doivent nous amener à redimensionner notre activité.
Quelles dispositions concrètes mettre en œuvre pour cela ?
– Un plan de suivi des cotisations mais aussi des liens avec les organisations adhérentes a été élaboré; Un travail de relance par courrier papier s’est traduit par un nombre non négligeable de retour de ré-adhésions.
– Nous en sommes aujourd’hui à 47 adhérents individuels et 24 collectifs (11 CD et UD, CR, 13 UF et FD).
– La gestion financière de l’institut :
– Un travail important a été réalisé pour une gestion financière en temps réel el rationnalisée.
– Des investissements importants ont été réalisés en 2016, nous obligeant à une réflexion prospective sur nos finances. Depuis, nous avons apuré nos dettes.
– Il nous faudrait réfléchir à la recherche de financements complémentaires.

– La communication :
– C’est la volonté d’établir un lien régulier avec nos adhérents, avec un bulletin mensuel, qui se nomme « EMPREINTES ». Il est diffusé par voie électronique avec des liens avec les sujets abordés, et est sur le site internet de l’UGICT. Nous en sommes actuellement au N°21. Notre bureau, en lien avec le secteur communication de l’UGICT, se propose de continuer de développer ce bulletin sous une nouvelle forme.

– En lien avec Empreintes, notre présence sur le site de l’UGICT : nous nous efforçons de communiquer aux camarades en charge du site, nos publications.
– Les cahiers d’histoire : Nous avons beaucoup de mal à assurer une sortie régulière. Nous aurions peut-être besoin de structurer un petit collectif avec des camarades du bureau et du CA autour de cette activité.
– Notre travail de promotion : notre plaquette de promotion a été revue. Voir pour la réaliser sous forme imprimée.
Notre présence active lors des congrès de l’UGICT ou d’initiatives d’organisations relève de cette démarche
– Participation à l’activité de l’IHS-CGT auquel notre institut est adhérent :

– Participation aux diverses conférences, initiatives, colloques et journées d’études organisés par l’IHS-CGT.
– Nous avons participé aux journées d’étude des Instituts en mai 2018.
– Nous avons participé à l’assemblée générale de l’IHS-CGT le 10 mai 2018. André y a été réélu à son CA.
– Le conseil Scientifique : ne s’est pas réuni depuis notre dernière AG.
– Les sollicitations : notre institut répond aux sollicitations d’organisations de l’UGICT à l’occasion d’initiatives ou d’actions de formation.

4. Des pistes pour des orientations de travail

D’autres thèmes de travail avaient été soumis au débat de nos dernières AG :

– Les enseignants, la CGT et l’UGICT : après la décision de désaffiliation de l’UNSEN, il parait nécessaire de revenir sur l’enjeu, pour la CGT, de la syndicalisation des enseignants, et plus largement, des personnels de l’éducation;
– Les ICT, la santé et la protection sociale
– Les coordinations : à la fin des années 80, la création de coordinations, au départ sur des bases professionnelles et catégorielles, a interpelé la CGT et l’UGICT sur leur abord et l’activité vers certaines catégories de salariés.
–  Etc…

La liste des thèmes proposés n’était pas limitative. Mais notre bureau avait proposé de s’intéresser plus particulièrement :

– Au développement du syndicalisme cadre dans les professions de santé et d’action sociale : le syndicalisme dans ces secteurs nous paraît révélateur des problèmes que le syndicalisme spécifique a eu et a encore à résoudre, d’où l’intérêt de revenir sur son histoire. La période actuelle avec les attaques contre l’universalité de notre protection sociale placent les salariés de ces secteurs dans des conditions de plus en plus compliquée pour accomplir leurs missions. L’histoire de notre syndicalisme dans les secteurs de la santé et de la protection sociale peut être une aide précieuse pour nos camarades à leur réflexion et à leur action. Ce travail, mis en sommeil du fait de l’indisponibilité des camarades l’animant, va pouvoir reprendre.
– De poursuivre le travail sur l’histoire de ce qu’on appelle aujourd’hui « la formation tout au long de la vie » (qui a joué un rôle particulier dans l’affirmation de la spécificité du syndicalisme cadre) : le besoin de formation, les rôles de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, des modes de formation, notamment celle des adultes, leurs évolutions respectives, qui ont fait l’objet de discussions-confrontations des « partenaires sociaux » et rendu indispensable une Loi.

5. Pour conclure

Nous avons continué à avancer en termes d’activité collective, qui reste cependant encore trop centrée autour des camarades du bureau. Nous avons du mal à élargir au niveau de notre CA.
Il nous faut franchir une nouvelle étape significative dans le développement de notre Institut tant en terme de nombre d’adhérents qu’en termes d’initiatives propres.
Notre présence aux congrès de l’UGICT à Vichy, à Dijon et à Perpignan, les contacts que nous y avons eu, ont montré un intérêt certain pour l’activité que développe notre Institut. Cela doit permettre d’approfondir ce travail de liens tissés avec nombre d’organisations.

Comme une camarade le soulignait lors d’une précédente assemblée, les enjeux sont forts et nous avons toutes les raisons de ne pas nous laisser déposséder de notre histoire, si nous ne voulons pas qu’elle soit déformée et que d’autres se l’approprient à leur propre profit.

Merci de votre attention.

 

Présentation des comptes 2018 Micheline LAROZE

Chers Amis,
Afin de vous permettre l’étude des comptes de l’année 2018, nous vous remettons deux documents comptables :
• Le compte d’exploitation de l’année 2018
• Le bilan 2018
COMPTE D’EXPLOITATION 2018
Les produits représentent 4.565.00 €
Ces ressources se répartissent de la manière suivante :
. Les cotisations de nos adhérents : individuelles pour 725 € et cotisations des organisations pour 1.680 € soit un total de 2.505 € y compris le rattrapage des cotisations des années antérieures pour 100 €. Le résultat de ce poste est légèrement supérieur à 2017 grâce aux relances et surtout à nos interventions personnelles, très efficaces pour inciter à l’adhésion à l’I.H.S.-U.G.I.C.T. ou son renouvellement.
. La subvention de l’U.G.I.C.T. qui est désormais de 2.000 € par an et versée en 2 semestres.

Les charges totalisent 11.217,74 €
Le poste le plus important de ces dépenses reste celui des « services extérieurs » ce sont les prestations de la société Gamma pour 4.545 € : il s’agit de l’abonnement pour l’hébergement de notre serveur et du traitement (353.40 x 4 trimestres) et de la dématérialisation de nos archives (Lefort)
En « matériel et équipements » apparaît la somme de 3.127 € (le solde de la facture de notre investissement du serveur pour lequel nous avions réglé en 2016 9.377.12 €.
Au poste « dotation aux amortissements » nous portons chaque année la somme de 2.500.56 € représentant 1/5 de l’investissement.
Enfin, concernant les dépenses nous avons pour 817.79 € les frais habituels de déplacements de nos membres assistant aux réunions statutaires et de travail.
Le déficit d’exercice : 6.652.74 € s’explique par le poids que représente notre investissement du serveur et son fonctionnement. Il s’agit là d’une situation exceptionnelle. Nos dépenses ordinaires, soit environ 2 600 € ne dépassent pas nos ressources (subvention + cotisations) soit environ 4 400 €.
Nous conclurons donc l’explication de ce compte d’exploitation en nous félicitant de réaliser le but de notre Institut : le traitement des archives comme outil de travail pour tous.

Je poursuis par LE BILAN 2018 :
L’ACTIF : 11.993.40 €
comprend notre serveur « immobilisation » pour une valeur de : 12 502.82 amorti à hauteur de 3/5ème pour une valeur de :7 501.68 €. auxquels s’ajoutent nos avoirs en Banque et en Caisse de 6.992.25 € pour respectivement 6.806.02 € et 186.23 €
Le PASSIF : 11.993.40 €
reprend le report de l’année précédente : 18.417.14 € moins le déficit pour 6.652.74 résultant de l’exercice 2018.

Chers Amis,
J’en termine donc avec la présentation des comptes de notre Institut. Vos remarques et suggestions sont les bienvenues.
Je vous remercie, ensuite, de bien vouloir signifier votre approbation des comptes présentés à cette Assemblée.

 

Les membres du C.A.

JAEGLE André
SALKOWSKY Gérard
CHAVROT Claude
LAROZE Micheline
DOSUALDO Annie
COHEN Jeanine
GUERIN Julien
RONDEAU Michel
WAKS Odette
DAUBA Michel
MEYER Catherine
ALEZARD Gérard
BRUANT – ZORNETTE Annie
OBADIA Alain
MICHEL Annie
CHEVE Henri
GUIHEUX Jocelyne
WACSIN Henry

 

Les membres du Bureau

JAEGLE André – Président

SALKOWSKY Gérard – Président Délégué

CHAVROT Claude – Secrétaire Général

DOSUALDO Annie

LAROZE Micheline – Trésorière

WAKS Odette – trésorière Adjointe

COHEN Jeanine

GUERIN Julien- Communication

RONDEAU Michel

GUIHEUX Jocelyne

MICHEL Annie

 

Retour sur l’Assemblée Générale

– Participation : 10 dont 1 UF (UFICT ME) et 10 pouvoirs.

Les termes des échanges :
– La plaquette ;
– Nos moyens financiers pour poursuivre et élargir notre activité ;
– Notre renforcement.

Nos chantiers :
– Le travail social : était pris en charge par l’UGICT.

La désindustrialisation :
– Passer à une autre étape ;
– Utilisation des différentes contributions ;
– Question de l’animation du collectif : qui prend en charge et en fait sa priorité ?

Les archives :

– Chargement de démarche depuis un an ;
– Echanges avec l’UGICT sur l’avenir d’un document quand il est produit.

Le débat : « de la diversification à la spécificité, le long combat de la démocratie syndicale » :
– La diversification : exemple du GNC (maintenant UFICT-ME) ; le passage d’une entreprise unique à un ensemble d’entreprises.
– Les batailles revendicatives dans les entreprises ;
– Notre présence dans les administrations centrales de la fonction publique ;
– Métallurgie : ETDA et SNCIM ;
– Les évolutions entre 1960 et 2000 ;
– Les coordinations ;
– Enjeu dans les structures : rôle des fédérations.

Les premiers enseignements :
– Se renforcer ; élargir le CA et au-delà pour tenir nos différents chantiers.
– Un riche échange lors du débat en 2ème partie de l’AG.

 

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