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Contenus

sommaire ● P2 Édito : 3,5 % d’augmentation, et après ? ● P3 Actualité sociale : Mettre à l’ordre du jour le progrès social ! Le droit aux vacances : toujours une idée neuve ! Voiture électrique : bonne ou mauvaise idée ? ● P6 Parole aux syndicats : Le mouvement des conducteur·rices de la DPE ● P7 Focus lutte : Une grève réussie et des avancées ● P8 Actualité fédérale : Retour sur la Commission Éxécutive fédérale des 9 et 10 juin 2022 ● P10 Dossier : Rémunérations et carrières : les revendications de la Fonction publique Interview de Baptiste Talbot ● P20 Statutaire DLAJ : Droit à l’avancement : recours contre l’inaction du gouvernement ● P21 Qualité de vie syndicale : Élections professionnelles : été 2022, point d’étape ● P22 UFICT : Deux sociomètres pour mesurer la qualité des relations et le management au travail ● P23 UFR : La retraite et l’invalidité : combat d’avant-garde ● P25 Culture : À découvrir..., à voir... ● P26 International : Assez d’acharnement, liberté pour Julian Assange

Édito

3,5 % d’augmentation, et après ? À l’occasion de la «conférence salariale » du 28 juin, au cours de laquelle nous sommes inter venus avec nos revendications, le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques a annoncé une augmentation de 3,5 % de la valeur du point d’indice applicable au 1 er juillet, alors que l’inflation sur un an est actuellement de 5,2 % et continue de progresser à la même allure ! Au regard des pertes accumulées et de l’inflation à venir, cette mesure est nettement insuffisante et appelle une revalorisation sérieuse et conséquente. Cette première brèche est à mettre au crédit des luttes menées par les personnels fonctionnaires et non-titulaires avec leurs organisations syndicales, dont la CGT qui a toujours porté la valeur du point comme une bataille centrale. C’est la reconnaissance de l’erreur profonde qu’a constituée le maintien du gel depuis le début de la présidence Macron. Il s’agit d’une véritable défaite idéologique, qui marque l’échec des politiques salariales fondées sur l’individualisation et la multiplication des mesures parcellaires. La CGT maintient la revendication d’une première augmentation d’au moins 10 % de la valeur du point, avec effet rétroactif au 1er janvier 2022 et indexation sur l’inflation.

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