Généraliser la reconnaissance des heures écrêtées

L’employeur a l’obligation de suivre le temps de travail et de s’assurer du respect des garanties minimales des personnels.

La légalité de l’écrêtage à 12h en fin de mois doit être remise en cause.
Le dépassement de 10h de travail effectif par jour doit faire l’objet d’une information du CHSCT.
Les temps de trajet en mission doivent être comptabilisés.

L’employeur doit mettre en place des actions pour qu’il n’y ait plus d’heures écrêtées.

Exigeons un suivi, genré, par catégories des heures écrêtées.
Exigeons les embauches à la hauteur de ces heures écrêtées.

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