Voici la liste des sujets refusés :
- « Volkswagen, l’entreprise de tous les scandales » ;
- « Le monde selon YouTube » ;
- « François Homeland », un projet d’enquête sur la capacité du président français à assumer ses engagements dans des conflits armés à l’étranger ;
- « Attentats : les dysfonctionnements des services de renseignement » ;
- « Les placards dorés de la République », qui devait explorer « comment des préfets se retrouvent nommés à 15000 euros hors cadre », ou « les emplois fictifs de la haute fonction publique » ;
- « Répression made in France », sur la façon dont la France exporte ses moyens de répression « comme les matraques électriques » dans des parties du monde dont les dirigeants sont « plus ou moins recommandables » ;
- « Nutella, les tartines de la discorde ».
Le chef adjoint de Special Investigation,Jean-Baptiste Rivoire, a confirmé, le 12 février sur l’émission Arrêt sur images, qu’une liste inquiétante de sujets était interdite par la chaîne. Ce journaliste, délégué syndical SNJ-CGT à Canal+, a été soumis cet automne à une procédure de licenciement qui n’a finalement pas abouti. Il s’était plaint dans un courrier adressé au directeur général de Canal+ de la déprogrammation de l’émission sur le Crédit Mutuel.
Voir l'article sur le site Révolution permanente ici
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