La première réunion avec les représentants, dont Bernard Tapie, de l’offre déposée par « La Provence » a tourné court, le temps que Tapie nous impose ses deux propositions :
- Créer un centre d’impression entre Marseille et Nice pour réaliser l’impression de l’ensemble des titres de La Provence et des titres du Groupe Nice-Matin sans trop y croire lui-même ;
- Ou délocaliser la production de Var-Matin à Marseille, nous amputant ainsi de 70.000 exemplaires/jour sur les 160.000 que nous imprimons aujourd’hui sur notre site.
Tapie justifie ses deux projets industriels par la baisse des effectifs dans les services techniques, casse sociale qu’il veut nous imposer en liquidant près de 61 % des techniques et 41 % des administratifs avec au final -41 % des effectifs totaux de Nice-Matin, -27 % pour Eurosud et -10 % à P.N.S. dans le plan de licenciements qu’il veut mettre en place.
Affirmant qu’il ne « bougerait pas d’un iota » ses projets industriels et son plan de licenciements, nous avons été contraints de constater qu’il n’y avait aucune possibilité de dialogue et nous avons quitté la réunion sur un constat de désaccord.
Inadmissible, insupportable, impossible à entendre, nous ne laisserons pas Nice-Matin se faire démanteler, nous ne laisserons pas 1 salarié sur 2 perdre son emploi.
Dans le même temps le projet de reprise de Nice-Matin en coopérative, par ses salariés, évolue favorablement auprès des collectivités locales afin d’être définitivement bouclé avant l’échéance du tribunal de commerce.
Le Bureau (25/09/14)
CSTN CGT Filpac CGT
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