Il dénonce ces scandaleux agissements contre nos collègues venant de membres d’un parti qui n’a de cesse de pourchasser physiquement les syndicalistes, les élus, les populations immigrées et tous les démocrates.

La politique d’austérité sans fin de la Troïka est grandement responsable de cette situation qui fait monter le populisme du fait également de l’incapacité d’une majorité de la classe politique grecque de s’opposer aux remèdes antisociaux dictés à Bruxelles.

Le SNJ-CGT est également solidaire du combat mené par les syndicats grecs contre le démantèlement de la chaine public ERT, là aussi, conséquence des mesures d’austérité appliquées à la lettre par Athènes.

Globalement, la fermeture de titres, la réduction sensible des salaires, les pertes d’emplois pour des centaines de journalistes sont intolérables. Ensemble, mettons un terme par la lutte et la solidarité à une Europe où la Grèce est transformée en laboratoire antisocial.

Marseille, le 17/10/2013