La France reçoit à Paris le président iranien Hassan Rohani. Au-delà des relations économiques, commerciales, diplomatiques, la France, pays des droits de l'Homme, ne peut ignorer que les droits des journalistes iraniens et la liberté de la presse ne sont pas respectés. Ces questions ne peuvent pas être passées sous silence lors des rencontres franco-iraniennes.
Le 7 janvier 2015 le journal Charlie Hebdo était attaqué par deux terroristes causant la mort de 12 personnes.Cette attaque insupportable contre la liberté d’expression et la démocratie a bouleversé la France entière. Le 11 janvier, des millions de citoyenEs se sont levées contre la barbarie et pour défendre la liberté.
En Pologne, les députés ont voté une loi pour permettre au gouvernement de la droite extrême de faire main basse sur les médias publics. C’est le ministre du Trésor qui va nommer les membres des directions et des conseils de surveillance de la radiotélévision publique. Le vote de cette loi a entrainé la démission de plusieurs responsables de chaîne
Ursula Gauthier, la correspondante en Chine de l'hebdomadaire français L'Obs, est menacée d’expulsion le 31 décembre suite au non-renouvellement de son accréditation et de son visa.
Une délégation des syndicats de journalistes (SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes), membres de la Fédération européenne des journalistes, a été reçue en fin de semaine au ministère des affaires étrangères afin de faire part de sa vive inquiétude quant à la dégradation de la situation des journalistes turcs et des atteintes graves à la liberté de la presse.
Un message de soutien du président du syndicat des journalistes palestiniens
La Journée internationale de la fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes a été adoptée le 18 décembre 2013 par l’ONU. Elle est célébrée ce lundi 2 novembre, à l’occasion du deuxième anniversaire de l’assassinat de deux reporters de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, à Kidal, Mali, en 2013.
La liberté de la presse est plus que jamais gravement menacée en Turquie par la politique répressive conduite par l’AKP et le chef de l’Etat Recep Tayyip Erdogan.
Les journalistes, les syndicalistes et les collaborateurs de presse en Turquie sont victimes de la répression de la part des autorités de ce pays candidat à l'Union européenne. Les journalistes et les syndicalistes se font régulièrement arrêter, jeter en prison ou ils doivent faire face à la violence, à la censure, aux menaces de licenciement, aux insultes et aux refus d'accréditation. Des procès sont en cours en permanence contre nombre de journalistes.
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