Le congrès du SNJ-CGT, qui s'est tenu à Marseille du 14 au 17 octobre, a adopté plusieurs motions (ci-jointes) lors de sa soirée de solidarité internationale.
Quatre invités ont participé à cette séquence: Younes Mjahed, président du syndicat des journalistes marocains et premier vice-président de la Fédération internationale des journalistes (FIJ, 600.000 adhérents dans le monde),
Paco Audije, membre des Commissions ouvrières espagnoles et membre du Comité directeur de la Fédération européenne des Journalistes (300.000 adhérents), James Overton, président de la section française du NUJ (National union of journalists, Grande-Bretagne), Pierre Barbancey, grand reporter à l'Humanité.
Alors que plus de 35 000 fonctionnaires de tous les secteurs d’activité (éducation, justice, armée, intérieur, etc.) sont soit détenus, soit suspendus, le dirigeant turc, Erdogan, s’en prend maintenant aux médias.
On ne connaît pas les commanditaires du putsch manqué de vendredi dernier en Turquie, mais on peut d’ores et déjà en mesurer les conséquences.
L’autocrate Erdogan profite de la situation créée pour appeler à l’unité de tout ce que la Turquie compte de politiques fascisants, de religieux sunnites réactionnaires et de nationalistes.
Les syndicats français de journalistes (SNJ, SNJ-CGT et CFDT-Journalistes) exigent la levée de l'interdiction de territoire égyptien du journaliste français Rémy Pigaglio et dénoncent les atteintes à la liberté de toute la presse dans ce pays.
Le SNJ-CGT se félicite de la libération de Florence Hartmann, ancienne journaliste du Monde et ex porte-parole du procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), détenue pendant cinq jours dans des conditions déplorables à La Haye.
Dans un article publié par le quotidien Le Monde daté du 17 mars, Can Dündar, rédacteur en chef du journal turc d’opposition Cumhuriyet, s’en prend aux leaders européens qu’il accuse d’« abandonner les démocrates en Turquie », donc notamment les journalistes, en raison des négociations et accords intervenus entre Bruxelles et Ankara sur la crise des migrants.
Mohammad Al-Qiq, 33 ans et père de deux enfants, est un reporter pour la chaîne d’information saoudienne AlMajd. Il a été arrêté sans motif le 21 novembre 2015 chez lui dans la ville cisjordanienne de Ramallah et a été brutalement interrogé par les forces de police israéliennes
Les syndicats de journalistes (SNJ,SNJ-CGT, CFDT Journalistes), membres de la Fédération internationale des Journalistes (FIJ, 600 000 adhérents), appellent les autorités du Burundi à libérer immédiatement les deux confrères français et britannique arrêtés jeudi par la police.
La France reçoit à Paris le président iranien Hassan Rohani. Au-delà des relations économiques, commerciales, diplomatiques, la France, pays des droits de l'Homme, ne peut ignorer que les droits des journalistes iraniens et la liberté de la presse ne sont pas respectés. Ces questions ne peuvent pas être passées sous silence lors des rencontres franco-iraniennes.
Le 7 janvier 2015 le journal Charlie Hebdo était attaqué par deux terroristes causant la mort de 12 personnes.Cette attaque insupportable contre la liberté d’expression et la démocratie a bouleversé la France entière. Le 11 janvier, des millions de citoyenEs se sont levées contre la barbarie et pour défendre la liberté.
En Pologne, les députés ont voté une loi pour permettre au gouvernement de la droite extrême de faire main basse sur les médias publics. C’est le ministre du Trésor qui va nommer les membres des directions et des conseils de surveillance de la radiotélévision publique. Le vote de cette loi a entrainé la démission de plusieurs responsables de chaîne
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