La Journée internationale de la fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes a été adoptée le 18 décembre 2013 par l’ONU. Elle est célébrée ce lundi 2 novembre, à l’occasion du deuxième anniversaire de l’assassinat de deux reporters de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, à Kidal, Mali, en 2013.

Les journalistes du groupe Infopro-Digital ont décidé d'un débrayage le jeudi 5 novembre de 10h à 12h, la direction ayant décidé de supprimer les abonnements des rédactions à l'AFP.

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    La liberté de la presse est plus que jamais gravement menacée en Turquie par la politique répressive conduite par l’AKP et le chef de l’Etat Recep Tayyip Erdogan.

Le SNJ-CGT se félicite de l’annulation, que nous avions réclamée dans un communiqué le 19 octobre dernier, de l’émission Des Paroles et des Actes consacrée à la présidente, Marine Le Pen, d’un parti raciste et haineux. Néanmoins, il a fallu que ce soit l’invitée qui en prenne l’initiative.

Le SNJ-CGT proteste avec vigueur contre le scandaleux rassemblement organisé, par la Ligue de défense juive (LDJ), un groupuscule sioniste violent, qui a réuni devant l’AFP deux cents de ses sbires, dont certains armés de bâtons et le visage cagoulé, venus s’en prendre au traitement médiatique d’Israël par l’agence. 

Convoqué à un entretien préalable, sans aucun motif écrit, en vue d’un éventuel licenciement le lundi 19 octobre à 15h, la direction de Canal+ a finalement informé Jean-Baptiste Rivoire qu’elle avait décidé de ne pas poursuivre la procédure initiée à son encontre. 

Marine Le Pen sera donc l’invitée principale de l’émission politique de France 2, Des paroles et des actes, le 22 octobre prochain. La cinquième fois en moins de cinq ans, ce qui fait d’elle la responsable politique la plus souvent conviée dans l’émission. 

La violence médiatique qui s’est abattue depuis le début du conflit d’Air France sur les salariés et les syndicats de la compagnie aérienne constitue une page peu glorieuse pour l‘information. Honteux ? Oui ! Scandaleux ? Trois fois oui. 

Jean Jaurès répondant à Georges Clemenceau à la Chambre des députés le 19 juin 1906