Grève à Mondadori France ! ici
Aude Lancelin, licenciée politique du Nouvel Observateur ici
L'état d'urgence entraîne des bavures ici
Nouveau directeur de l'information à FTV : Pour un véritable changement ici
Le Front national : un danger pour le monde du travail et la démocratie ! ici
A la suite de attentats à Paris, la CGT a publié ce communiqué ici
Le Fonds d’indemnisation des victimes des actes de terrorisme et autres infractions qui se devait d’indemniser Jacques-Marie Bourget a décidé de porter l’affaire devant la Cour de cassation ici Son indemnisation est possible selon le Code de précédure pénale ici
ici A lire un texte de Jaurès de 1906 tellement actuel !
Nathalie Kosciusko-Morizet se vante d’aimer Paris, mais, à coup sûr elle n’aime pas les journalistes : le 19 février, sur la chaine LCP, elle s’en est pris nommément à une journaliste du Monde, Béatrice Gurrey.
Derniers rebondissements de la situation à Libération.
La démission de Nicolas Demorand annoncée ce matin après quatre motions de défiance de la rédaction est une bonne nouvelle mais elle ne suffira pas à régler les problèmes du quotidien national.
Vous avez raison, « nous sommes un journal », pas une marque, pas un restaurant, en ce qui vous concerne, pas un grand magasin en ligne, en ce qui nous concerne, nous, magazines du groupe Lagardère.
Si les faits sont avérés, ils sont graves : L’Express a révélé que le ministre de l’intérieur, Manuel Valls, aurait demandé à ses services de rechercher les sources de Jean-Marc Leclerc, journaliste au Figaro.
La mobilisation du personnel de l'AFP a toujours empêché les projets successifs de casse du statut de 57 protégeant l'indépendance de l'Agence.
Aujoud'hui la direction veut « mettre à plat » les acquis sociaux du personnel et un nouveau projet menace notre statut.
La mission confiée par le gouvernement à Michel Françaix sur l'avenir de l'AFP est en cours, mais déjà le rapport d'étape du député de l'Oise recèle plusieurs dangers majeurs.
Les salariés du quotidien Libération ont voté (à bulletins secrets) la grève (224 présents), pour vendredi à 66%. Ils demandent le départ de Philippe Nicolas (directeur général) et de Nicolas Demorand, une transparence sur les actionnaires repreneurs et la suspension du bouclage de 20 h.
Nous attendions de ce gouvernement, au minimum, que nos emplois, nos conditions de travail, nos salaires soient respectés. Résultat, nous, journalistes, avec l’ensemble du monde du travail, avons gagné l’ANI (Accord national interprofessionnel) qui est un véritable recul en matière de droit social dans les entreprises et aucun des engagements du candidat Hollande n’a été tenu.
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