Dans le dernier numéro de Témoins n° 62 de juillet-octobre 2016, un article de Dominique Candille intitulé "Loi Travail, les journalistes ne sont pas épargnés" évoque les conséquences de cette loi pour les salariés.
Après un troisième recours au 49-3, la loi Travail a été définitivement adoptée le 21 juillet dernier. Le gouvernement a imposé son texte régressif, allant jusqu’à orchestrer la répression du mouvement syndical et de ses militant-e-s.
Manifestation unitaire jeudi 15 septembre 2016 Paris à 14H de la place de la Bastille à la place de la République
Dans l’affaire de la « chemise arrachée du DRH d’AIR France », Myriam El Khomri et le gouvernement de François Hollande ont franchi une nouvelle fois «le Rubicon social» en validant le licenciement du délégué CGT, Vincent Martinez, contre l’avis de l’inspection du travail… !
Les organisations syndicales de salarié-es et de jeunesse (CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) ont pris acte et dénoncent la nouvelle utilisation du 49-3, véritable déni de démocratie, pour faire passer le projet de loi travail.
La journée du 28 juin a été comme toutes les autres journées de mobilisation depuis 4 mois, un succès des salarié-es, jeunes, privé-es d'emplois et retraité-es ! Ceci malgré certaines conditions de manifestation qui n'ont pas permis à toutes et à tous d'y participer.
Peugeot Aulnay, Goodyear Amiens, Air France, et tout récemment les manifestations contre la loi Travail-El Khomri… quelques exemples de conflits sociaux dont le traitement partial, par France Télévisions – et France 2 en particulier – a suscité bien des moments de colère et de honte chez les salariés, et bien des railleries sur les réseaux sociaux !
Après avoir tenté d’interdire la manifestation du 23 juin pour finalement l’autoriser mais en la limitant à un parcours ridicule, le gouvernement, sous la pression des syndicats et de la société civile, a enfin accordé à l’intersyndicale et aux opposants à la loi travail un véritable parcours pour la manifestation du 28 juin.
Dans le collimateur de l’éditorialiste de France 2 : la CGT de Martinez et sa « radicalisation tous azimuts », qui veut paralyser le pays malgré « une base rabougrie »… et un «mouvement qui s’essouffle »…
Le Premier ministre vient d’accuser la CGT d’être responsable des violences intervenues en marge de la manifestation nationale du 14 juin, à Paris, contre le projet de loi travail.
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