- La lettre ouverte à François Hollande
- Le communiqué de presse
- La note détaillée d'analyse
Le conseil de discipline réuni ce mardi 13 décembre 2016, a émis un avis infligeant une sanction de 7 jours d’exclusion temporaire avec sursis à l’encontre de Mylène Palisse. Pourtant, l'audience a mis en lumière le caractère totalement injustifié et discriminatoire des poursuites disciplinaires engagées contre Mylène Palisse, notre collègue et camarade élue CGT. L’administration pénitentiaire, en dépit de ce dossier vide, persiste dans sa détermination à faire taire ses personnels !
Les syndicats français de journalistes (SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes) appellent la profession à se mobiliser par tous les moyens lors de la tenue du procès en appel qui s’ouvrira au Luxembourg le 12 décembre contre deux lanceurs et un journaliste qui ont révélé le scandale financier de l’évasion fiscale du LuxLeaks.
Meeting de soutien aux Luxleaks le lundi 5 décembre à 19h bourse du Travail 3, rue du Château d'eau Métro République avec Antoine Deltour, Raphaël Halet, Edouard Perrin, Irène Frachon, Elise Lucet, Marie-josé Kotlicki, Sophie Binet, Fabrice Arfi, Emmanuel Vire...
Les autorités préfectorales du Pas-de-Calais ont décidé de réglementer strictement l’accès des journalistes à la zone dite de la « jungle » à Calais, lors de l’opération d’expulsion des migrants qui se déroulera sous très haute surveillance policière dès ce lundi.
La justice du Luxembourg, visiblement sous pression des multinationales, a décidé de faire appel des récentes condamnations (juin 2016) des lanceurs d’alerte Antoine Deltour et Raphaël Halet. Clairement le parquet n’a pas digéré l’acquittement du journaliste Edouard Perrin dont l’enquête pour Cash investigation sur France 2 avait révélé les arrangements fiscaux au profit des multinationales.
La France est placée sous le régime de l’état d’urgence pour la quatrième fois depuis le 26 novembre 2015 et cette prolongation est prévue pour une durée de 6 mois.
Une nouvelle fois, la France vient d’être confrontée à l’horreur des attentats. La réponse gouvernementale, formulée au soir même de cet acte odieux, consiste à proroger une quatrième fois l’état d’urgence pour une durée d’au moins six mois.
Christian Estrosi n’hésitait pas à claironner en janvier 2015 : « Avec 999 caméras et une caméra pour 343 habitants (…) je suis à peu près convaincu que si Paris avait été équipée du même réseau que le nôtre, les frères Kouachi n’auraient pas passé trois carrefours sans être neutralisés et interpellés ».
Manuel Valls persiste et signe. Il s’était déjà opposé à la loi sur la protection des sources des journalistes, destinée à l’origine à « renforcer la liberté, l'indépendance et le pluralisme des médias » ; aujourd’hui, en pleine période estivale, il récidive.
Il est désormais clair que les journalistes sont devenus des cibles privilégiées, pour une partie importante des forces de l’ordre, coupables depuis début mars de nombreuses exactions, dans le cadre des manifestations contre la loi Travail.
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