- La lettre ouverte à François Hollande
- Le communiqué de presse
- La note détaillée d'analyse
50 organisations françaises et européennes adressent ce jour une lettre ouverte aux chefs d’Etats et de gouvernement européens leur demandant de ne de ne pas valider la directive secret des affaires en l’état. En France, une interpellation est adressée à François Hollande.
Le projet de Directive UE sur la « protection des secrets d'affaires », sur lequel le Parlement Européen se prononcera en séance plénière à Strasbourg le 14 avril prochain, se propose de donner à de telles entreprises des moyens juridiques supplémentaires pour poursuivre des journalistes ou des entreprises de presse publiant sans leur consentement des documents et des informations internes.
Le 5 avril, le Sénat procédera au vote sur le projet de loi « Urvoas » après des débats expédiés. Devant le Sénat, manifestons notre opposition !
Une coalition européenne d'organisations de la société civile, de travailleurs et de journalistes demande aux membres du Parlement Européen de rejeter la directive sur les secrets d'affaires.
Alors que le Sénat s’apprête à examiner le projet de réforme constitutionnelle concernant l'état d'urgence et la déchéance de nationalité, plus de 150 organisations, rassemblées dans les collectifs « Nous ne cèderons pas ! » et « Stop état d’urgence », appellent à une journée nationale de mobilisation (manifestations, rassemblements, réunions...) le samedi 12 mars, partout en France, pour porter les revendications suivantes
Le ministre de la Défense Le Drian aurait, selon l'AFP et Reuters, ordonné une enquête pour «compromission du secret de la défense nationale» à la suite d'un article du Monde sur l'implication des services spéciaux français en Libye....
Plus de 40 000 personnes, dont 20 000 à Paris, ont marché pacifiquement contre l’état d’urgence et les différents projets de loi qui le renforcent : constitutionnalisation de l’état d’urgence et de la déchéance de la nationalité, reconduction de l’état d’urgence et durcissement des lois pénales.
La reconduction de l’état d’urgence par le gouvernement Valls-Hollande et les débats sur la modification de la Constitution concernant la déchéance de nationalité prévus pour le 3 février sont des signes inquiétants de réduction des libertés individuelles et collectives.
Alors que la modification de la constitution pour intégrer l’Etat d’urgence et permettre la déchéance de la nationalité doit doit commencer au parlement le 3 février, un collectif citoyen est en train de se constituer à l’échelle du Val-de-Marne pour s’opposer au projet.
En réaction à l’horreur des attentats qui ont frappé notre société toute entière, l’état d’urgence a été décrété par le gouvernement, puis prolongé pour une durée de trois mois. Un projet de loi constitutionnelle prévoit l'inscription, dans la Constitution, non seulement de l'état d'urgence mais aussi de la déchéance de la nationalité pour les binationaux auteurs de « crimes constituant une atteinte grave à la vie de la nation ».
Accueil | Actualités | Le syndicat | Nos droits | La profession | Social | International | Accès rapide |
Le SNJ-CGT |
Les salaires |
Les droits d\'auteur Principes professionnels La commission arbitrale La formation initiale La formation continue |
Protection sociale Emploi-chômage Santé au travail La retraite |
La FIJ La FEJ Communiqués Liens |