Tribune parue dans Libération mercredi 21 avril 2015
Le SNJ-CGT s’est toujours battu pour que les éditeurs de la presse magazine adoptent un barème de piges à l’image de celui existant en presse quotidienne nationale. Surtout dans une forme de presse où le recours aux pigistes est généralisé.
vidéo d'Arrêts sur images
14h42, émission du 22/04/2015 par la rédaction
Radio France
La grève de 28 jours des salariés de Radio France, tous métiers confondus, a permis
de faire reculer la direction sur certains de ses projets (externalisation ou fusion des
orchestres, réforme de la production, réforme du service entretien).
« Pour que les stéréotypes de sexe disparaissent des écrans, pour que les expertes soient aussi nombreuses sur les plateaux que leurs homologues masculins (...), et pour que les postes à responsabilité soient répartis de manière paritaire dans les chaînes », le collectif de femmes journalistes Prenons la Une, interpelle les postulants à la direction du service public de télévision.
Après Patrick Cohen, c’est Franz-Olivier Giesbert qui a déchiré sa carte de journaliste en direct à la télévision.
Mais M. Giesbert n’a pas pris de risque; en effet sa carte de journaliste était périmée depuis le 31 mars !
Publié le 08-04-2015 sur le site du nouvel Obs. Par Journalistes de Radio France
LE PLUS. Jamais un mouvement social à Radio France n'avait duré aussi longtemps. Jeudi 9 avril, les salariés de l'entreprise publique entameront leur 22e jour de grève. Et si les efforts financiers demandés par l'État étaient une occasion à saisir pour régulariser la situation des précaires que compte Radio France ? 180 journalistes titulaires du groupe interpellent Fleur Pellerin et Mathieu Gallet.
Nous n’avons jamais demandé que l’on réponde aux attentats commis contre ces libertés en les limitant. Les organisations signataires refusent le recours aux procédés de blocage administratif des sites Internet, sans contrôle du juge judiciaire.
Le Syndicat français des journalistes CGT, dont Mumia Abu Jamal est membre d’honneur, vient d’apprendre avec stupéfaction que notre collègue, dont l’état de santé est très préoccupant, avait quitté l’hôpital pour être reconduit à l’infirmerie de la prison.
Nous sommes extrêmement choqués et indignés par cette attitude totalement inhumaine et arbitraire des autorités pénitentiaires qui traitent par le plus grand mépris Mumia Abu Jamal et mettent sa vie en danger.
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