La France est placée sous le régime de l’état d’urgence pour la quatrième fois depuis le 26 novembre 2015 et cette prolongation est prévue pour une durée de 6 mois.
Recep Tayyip Erdogan continue sa funeste mise au pas du peuple turc : plus de 11 000 supposés opposants et soutiens du putsch raté sont actuellement en garde à vue ou en détention.
Le CSA, ça ne s’invente pas, vole au secours des grands groupes pour diversifier leurs sources de revenus et, au passage, pour mieux exposer les parrains des retransmissions.
La situation en Turquie, après la tentative de coup d'Etat et la répression à une échelle sans précédent ne peut que provoquer colère, indignation et inquiétude. Les syndicats SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes sommes aux côtés de nos collègues turcs et kurdes qui subissent les foudres du régime de l'AKP et du chef de l'Etat, Recep Tayyip Erdogan. La mainmise du pouvoir sur les médias, les arrestations et poursuites de journalistes, les fermetures de titres, le blocus des sites et des réseaux sociaux transforment ce pays en un no man's land pour la liberté d'informer, pour la libre expression.
La Fédération internationale des journalistes (600.000 adhérents dans 140 pays), dont est membre le SNJ-CGT, vient de lancer une campagne internationale (à lire en fin de texte) pour dénoncer la demande de la direction de l'AFP faite aux reporters-photographes et vidéastes locaux d'abandonner leurs droits d'auteur. A ce jour, plus de 3000 personnes ont signé.
Alors que plus de 35 000 fonctionnaires de tous les secteurs d’activité (éducation, justice, armée, intérieur, etc.) sont soit détenus, soit suspendus, le dirigeant turc, Erdogan, s’en prend maintenant aux médias.
Une nouvelle fois, la France vient d’être confrontée à l’horreur des attentats. La réponse gouvernementale, formulée au soir même de cet acte odieux, consiste à proroger une quatrième fois l’état d’urgence pour une durée d’au moins six mois.
Christian Estrosi n’hésitait pas à claironner en janvier 2015 : « Avec 999 caméras et une caméra pour 343 habitants (…) je suis à peu près convaincu que si Paris avait été équipée du même réseau que le nôtre, les frères Kouachi n’auraient pas passé trois carrefours sans être neutralisés et interpellés ».
Manuel Valls persiste et signe. Il s’était déjà opposé à la loi sur la protection des sources des journalistes, destinée à l’origine à « renforcer la liberté, l'indépendance et le pluralisme des médias » ; aujourd’hui, en pleine période estivale, il récidive.
Nous allons tous et toutes être sollicités pour le remplacement gratuit de nos compteurs classiques par des compteurs « intelligents », d’abord électriques avec le Linky (EDF), viendra ensuite pour le gaz de ville Gazpar (GrDF- ENGIE). Tous sont reliés à Internet par radio, c’est-à-dire sans fil, et donc interrogeables à distance en permanence, avec toutes les ondes additionnelles afférentes et des milliers d’antennes-relais nouvelles.
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